« une pause lègume ? entre une citrouille & une aubergine

Il était onze heures du soir. Jonathan venait d'entrer dans la maison des secrets. Tout le monde l'avait bien accueillis. Il avait repérer très vite les bonnes têtes de vainqueurs, et les idiots de service. Il avait remarqué aussi le grand nombre de filles, ce qui lui réjouissait d'avance. Elles ne se ressemblaient pas, elles étaient très différentes, et si jolies. Le casting était parfait et il y en avait pour tout les goûts. Bravo, la prod ! Tout était parfait, les locaux, les secrets bien cachés à chaque recoins de murs, les candidats...
Jonathan venait à peine d'arriver... Qu'il avait tissé des liens avec beaucoup de personnes. D'ailleurs majoritairement des filles. On ne se posait même plus la question, pourquoi. Jonathan est séducteur, et aime les filles simples et naturelles. Il avait déjà beaucoup plus d'affinités avec certaines, et notamment la jolie rousse Sherlyn. Il adorait son prénom qui resonnait dans sa tête rien qu'à l'idée de le prononcer. Ses cheveux était d'une couleur rare, et son parfum était aphrodisiaque. Sherlyn le rendait dingue, et elle pouvait en supposer avec, tout les compliments qu'il lui avait fait dans les minutes où ils avaient fait connaissance. Il voulait passer la première soirée dans ses bras. Cette fille était différente, et il voulait en savoir plus sur elle. Il désirait la connaître. Et qu'elle lui dévoile les portes de son corps. Jonathan était assis sur un pouf face à la piscine et il pensait à elle. Sherlyn s'était approchée de lui, et lui avait murmuré à l'oreille : « Ne me quitte plus des yeux ». Jonathan obéissait, et dans la seconde qui suivait, elle était nue dans la piscine. Elle nageait comme une sirène. Son corps était magnifique. Les candidats qui étaient dehors, la regardaient nager sans un bruit... Jonathan le premier. Une fois son petit numéro terminait, elle prit sa serviette poser sur le bord de la piscine. Et regagna la chaise longue, non loin du pouf où était assis Jonathan. Pour se calmer, il alluma sa première cigarette. Il la regarda encore, encore et encore. Comme si cette fille était un objet merveilleux à ses yeux.