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J'ai rien copié encore o_O

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« 1962. Un silence de mort règne dans ce champ paraissant si petit mais qui pourtant, derrière les apparences, était si vaste. Les animaux n'osent plus manger la moindre source de nourriture, par peur de se faire détecter. Cette famille humaine n'osent également plus respirer, craignant de se faire trouver par les êtres sadiques que nous étions tous devenus, soit moi ainsi que le reste de mon espèce au cours des années précédentes. Ils allaient mourir aujourd'hui, nous en étions convaincus. Je voyais tout, entendais tout. Ils ne pouvaient s'échapper du sort qui leur étaient destinés. S'étant égarés du reste du groupe, dut à la course folle qu'il venait à peine de terminer, ils étaient faibles, sans aucun moyen de défense possible. J'avais hâte, tellement hâte. Hâte de pouvoir sentir la chair fraîche entre mes canines aiguisées.Hâte d'en avoir terminé avec eux. Hâte d'être enfin rassasié. J'avais terriblement faim. Je pouvais même sentir la chaleur monter rapidement et étroitement dans ma gorge. Craquement de plusieurs brindilles. Soupir pétrifié. Je dois y aller, je n'en peux plus.La tentation est beaucoup trop forte et surtout, présente. Je prends mon élan, me met à courir à la vitesse de la lumière, voir peut-être même plus et après que quelques secondes se furent écoulées, je saute sur ma proie qui jusqu'à présent, était dissimulée derrière une maigre haie de cèdre. Mais tout ne se passe pas comme prévus. Je n'arrache pas à pleine dent la mince couche de peau qui recouvre le sang dont j'ai absolument besoin pour ma survie. C'est un enfant, apeuré, terrorisé, pétrifié. Je ne peux pas, je ne peux plus. La faim est partie. La brûlure qui recouvrait auparavant mon oesophage a disparue. Je ne ressens rien d'autres que de la simple pitié. Cette pauvre petite fillette, maigrichonne, était là, derrière ce tas de branches nues, tentant désespérement de se caches, mais en vain. Il m'est complètement impossible d'enfoncer mes crocs dans son cou comme on nous le montres si bien dans les anciens films d'horreur de l'époque. Elle est beaucoup trop belle, trop fragile, trop pur. Elle n'a probablement jamais rien fait de mal. Alors, pourquoi faire souffrir elle et son être physiquement, comme intérieurement ? Ce serait tout simplement odieux d'agir ainsi. Je ferme la bouche, voulant éviter la véritable torture que j'avais dut infliger à cette pauvre blondinette aux yeux bleus comme le ciel. Étant en position attaque, je me redressa sur moi-même. Je ne voulais pas qu'elle ait peur de moi. Mais il était déjà trop tard. Son regard rougis par l'effort demandé, elle me fixait, la bouche ouverte, ne sachant quoi dire. Elle avait toujours peur. Je le savais, je le sentais. Moi qui avais toujours eu de la facilité à analyser les gens et ce, depuis ma naissance en tant qu'humaine, je pouvais nettement voir qu'elle n'osait guère parler, craignant par-dessus tous ma force redoutable. Soudainement prise de panique, je me mis à courir, courir et courir encore ne fois. Je ne sais pas où j'allais me retrouver dans quelques heures. Peut-être dans un tout autre continent de celui où je me trouvais déjà. Mais je voulais fuir la réalité qui rapidement, me rattrapait. J'avais eu faim à un point si élevé que je voulais tuer un enfant innocent pour me faire du bien. C'était tout simplement insensé. Il fallait que tout ça cesse le plus tôt possible. Je ne pouvais plus agir ainsi. Depuis trop longtemps, je faisais souffrir des gens. J'étais sadique. Voilà ce que j'étais. C'est terminé. »

• Un texte..... Pour un test RP.

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Ah... Bah pour Tomi xD

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  J'ai copié le liens de billooulou

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Malibu 34
Bayles 36

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Malibu 4O
Baiyles 32

• Comme tout le monde en faites.

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Est-ce que tu vois, toi aussi, quand tu fermes les yeux, quand tu serres le poing,
Haut vers le ciel, est-ce que tu sens l'odeur délicieuse de la liberté
Quand tu craches des soleils, la tête haute, dans le vent, quand tu chantes à tue-tête
A l'amour qui revient, couronné de lauriers

Nous sommes des milliers, un fleuve extraordinaire
Notre force est sublime, elle emportera tout
Et s'ils essaient encore ils se frotteront à mille cœurs debout

Le combat a fait rage, le combat était dur, il a fait des ravages
C'est écrit sur les rides de nos pères ivres de fierté, ils n'ont rien lâché, jamais
Il y a là la victoire qui nous tend des bras d'or
Et puis ces rues qui chantent et ces drapeaux dehors
Je te prendrai la taille et puis nous goûterons à ces instants de vie

Nous sommes des milliers, un fleuve extraordinaire
Notre force est sublime, elle emportera tout
Et s'ils essaient encore ils se frotteront à mille cœurs debout

Est-ce que tu entends l'écho noir du naufrage,
Quand la nuit gémissait, on rampait sous la peur
Et la douleur des autres nous tenait éveillés
Est-ce que tu te souviens de l'enfant africain qui vivait en dessous
De ses parents raflés
Des fusils de la honte qui encerclaient nos écoles, je n'oublierai jamais

Nous sommes des milliers, un fleuve extraordinaire
Notre force est sublime, elle emportera tout
Et s'ils essaient encore ils se frotteront à mille cœurs debout

Est-ce que tu vois, toi aussi
Quand tu fermes les yeux, quand tu serres le poing
Haut vers le ciel, est-ce que tu sens l'odeur délicieuse de la liberté

Est-ce que tu vois, toi aussi
Quand tu fermes les yeux, quand tu serres le poing
Haut vers le ciel, est-ce que tu sens l'odeur délicieuse de la liberté

Est-ce que tu vois, toi aussi
Quand tu fermes les yeux, quand tu serres le poing
Haut vers le ciel, est-ce que tu sens l'odeur délicieuse de la liberté

Est-ce que tu vois, toi aussi
Quand tu fermes les yeux, quand tu serres le poing
Haut vers le ciel, est-ce que tu sens l'odeur délicieuse

• Ah ah ah. Les paroles de la chansons de Star académie québécois. XDD

... & Pauline Itty vont à Paris dans une semaine !

https://img.photobucket.com/albums/v625/trally/manip-1.jpg

haha!! Essayez de deviner qui est à droite!
N'est-elle pas jolie en blonde? XD

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Lyzabeth. Lyzabeth Tanya. Lyzabeth Tanya Peterson.
Qui étais-je ? Sur mon certificat de naissance il y avait mon nom complet, celui de mes parents, ma date et mon lieu de naissance. Ces petites choses qui déterminaient qui était une personne. Mais lorsqu'on changeait d'identité ? On s'inventait une autre vie, un faux certificat. Qui était-on alors ? La personne que l'on avait délaissé ? La nouvelle identité qu'on s'était crée ? Quelqu'un de totalement différent. Étais-ce nos gestes, nos attitudes, nos décisions, nos pensées qui déterminaient qui nous étions ? Ou la vie se résumait-elle à un bout de papier rempli le jour de notre naissance ? Était-on conditionnés pour quitter ce monde seul, nu, et avec pour seul passeport ce bout de papier insignifiant ? De quoi était fait les souvenirs des gens que nous quittions ? Étais-ce un sourire, un visage ou des attitudes, des manies ? Se rappelait-on de l'identité ou de la gestuelle ? Qu'est-ce qui était important dans le fond ? Les personnes que nous aimions ? Ce que nous voulions montrer de nous aux autres ? Ce que l'on était à l'intérieur ? Était-on condamné à vivre le chemin du destin dans le conditionnement aléatoire que le hasard avait tiré pour nous ?
La réponse scientifique à cette question aurait été totalement différente du raisonnement abordé plus haut. Il était possible d'envisager la vie et l'identité d'une personne sur sa composition biochimique : les cellules de son corps. On peut tracer tout un profil, créer une véritable identité. Mais tout cela ne disparaît-il pas à la mort ? Les chaires se consomment, seuls vestiges de la vie restent les os. Peut-on juger une personne sur l'allure de sa dépouille, cinquante ans après ? La science est certes exacte, mais connaît-on réellement la personne ? On ignore tout du caractère, de la voix, des réactions. Tout ce que l'on trouve est viscérale. Savoir qu'une personne s'est cassé le poignet à tel âge, qu'elle a pratiquée tel sport suivant certaines marques... Peut-on dire de ceci qu'il s'agit d'une vraie connaissance de la personne ?

Un bout de RP & de nouvelle