SURNOM ; Levannah n'a pas de surnom mais préfère qu'on l'appelle par son deuxième prénom, Kate. ÂGE ; Vingt-ans. DATE DE NAISSANCE ; Dix-sept janvier 1989. LIEU DE NAISSANCE ; Paris. ORIGINE ;Française, avec un grand-père américain. AVATAR ; Alexis Bledel
» C a u t i o n : I a m . i n . t h e . p l a c e !_
■ THIS IS REAL ; THIS IS ME Élevée dans une famille des plus respectables aux moyens élevés, Kate − nommons-la par son second prénom, car elle préfère − n'a jamais manqué de rien. Elle a toujours eu tout ce qu'elle voulait, mais c'était rare de voir qu'elle réclamait quelque chose, car c'était une enfant silencieuse, sage et obéissante, depuis son plus jeune âge. Elle a grandi dans la discrétion, elle n'avait pas beaucoup d'amis au collège, mais au moins ses quelques amis et amies était fidèles et ils faisaient tout ensemble. Même ses voisins de droite dans sa ruelle de Paris, ne savaient pas dire quel âge la jeune fille avait tellement il la voyait peu. En effet, elle se faisait extrêmement discrète, et elle l'est toujours. Elle est aussi extrêmement sensible, elle pleure pour une dispute ou pour une amourette autant que pour un papillon décédé − non, j'exagère − mais elle est pleure souvent et aime bien se faire réconforter. Mademoiselle Hathaway est aussi très timide mais étonnamment malgré ça elle est exprime très bien le fond de sa pensée et est difficilement influençable, même avec un pistolet sur la tempe, elle ne changerait pas d'avis. En tout cas, personne ne pourrait détester Kate, elle est tellement douce et gentille. Mais certaines pestes pourraient peut-être ne pas apprécier son côté gnangnan et pleurnicharde. Mais la plupart auront pitié et viendront la réconforter. Telle est dévouée, avec elle les tâches ménagères se feront toutes seules. Elle est parfaitement capable de se lever aux aurores pour venir préparer un bon petit-déjeuner de groupe à la cuisine, mais certains abuseront d'elle et de sa gentillesse. La petite demoiselle est aussi très frêle et mince et les gros lourdeaux n'hésitent pas à la bousculer, ce qui la met hors d'elle, mais que voulez-vous qu'elle fasse du haut de sa petite taille hein ? Mais elle ne se laissera pas faire, la jeune Levannah, non non elle va montrer sa personnalité dans ce jeu − oh elle ne va pas aimer que je la nomme ainsi, ouille ouille le fouet.
» J u s t . S o m e . Q u e s t i o n s !_
QUELLE EST ?
— ta boisson alcoolisée préférée ? Whisky coca. — ta couleur préférée ? Bleu gris. — ton passe-temps favori ? Danse. — le lieu que tu fréquentes le plus ? Bibliothèque. — la personne à qui tu tiens le plus ? Mon petit chien, Bacardi. — fais une liste de tout ce que tu aimes ; Plein de choses, elle serait trop longue ! — fais une liste de tout ce que tu n'aimes pas ; Les emmerdeurs, les soûlants, et toutes ces personnes qui m'énervent.
QUE FAIS-TU SI ?
— tu remarques que quelqu'un commence à avoir des doutes à propos de ton secret ? Je fais des gestes et je dis des choses qui peuvent faire croire à cette personne que mon secret en est un autre et qu'elle buzze un mauvais secret. — quelqu'un touche à tes affaires sans te demander la permission ? Rien de grave. Rien ne laisse paraître mon secret dans mes affaires. Mais je lui fais quand même remarquer que c'est impoli. — c'est le jour de cuisine d'une personne. Mais celle-ci refuse de la faire. Que fais-tu ? Dévouée comme je suis, je la fais à sa place. Je sais, je suis trop bonne. — tu entends discrètement un groupe de personnes parler de toi, et pas vraiment en bien ? On peut m'énerver longtemps mais quand on fait tomber la goutte qui fait déborder le vase ! Ça va barder pour eux !
» A n d . F i n a l l y . M o r e . A b o u t . Y o u !_
»prénom, pseudo ; Valentin, Hermès. »âge ; Quatorze balais. »jours de connexion ; 4/7 en semaine. 6/7 durant les vacances et le week-end. »exemple de rp ; Il est en spoiler.
Spoiler:
Après avoir longuement élevé la voix auprès des autres dieux pour défendre sa chère et tendre Alinor, Penn rentrait à pied, enfin nous dirons plutôt qu’il errait dans les rues sombres, histoire de réfléchir à tête reposée, durant cette nuit étoilée. Il voulait mettre un terme à ce conflit qui opposait les dieux à Alinor, sa bien-aimée depuis quelques temps déjà. Les dieux étaient contre leur relation, évidemment Penn comprenait très bien la raison de leur énervement mais il ne pouvait faire autrement, il aimait trop Alinor pour la jeter comme une vulgaire loque, « il avait trop de respect pour cette humaine », disaient les autres dieux. C'était la première fois qu'il y avait un malentendu entre lui et ses congénères divins. Penn savait déjà que, s'il était obligé de faire un choix, ce qui serait sûrement le cas, il resterait auprès des divinités, laissant Alinor poursuivre sa vie de mortelle. Non, il était trop attaché à cette jeune fille, trop protecteur envers elle, pour la laisser filer et surtout la voir avec un mortel, qui serait tôt ou tard mort dans un incendie. Les pensées allaient et revenaient dans le crâne de Penn, il aurait bien voulu devenir léger, tout léger sans avoir à penser à quoi que ce soit... Il continua son chemin d'un pas plus rapide mais toujours aussi gracieux vers des rues un peu plus éclairées... Le vent du soir lui frôlait les joues, et entrait parfois furtivement dans son sweat, faisant virevolter ses vêtements moulants sur son corps parfait. Mais pour le moment, rien ne semblait être parfait dans sa tête.
Longeant quelques rues encore, il finit par arriver dans le centre de New York, pour revenir à son point de fuite, le Plazza Hotel, ou autrement dit, le quartier général des dieux. Penn avait réussi à faire légèrement le vide dans sa tête depuis quelques minutes, et il se sentait apaisé, mais toujours énervé contre les dieux mais aussi contre Alinor, qui, après tout, était la source du problème. Il fit un geste brusque mais léger de la main et une petite vaguelette d'eau sombre poussa la haute porte pour ensuite disparaître dans le néant. Il monta les escaliers lentement, prenant fort appui sur ses cuisses musclées, et arriva dans le long couloir de l'avant-dernier étage. Il ouvra la haute porte d'un beau gris qui donnait accès à sa suite et la referma derrière lui. Le grand appartement était faiblement éclairé par quelques bougies de cire et il y faisait chaud. Bizarrement, la télévision laissait échapper quelques bribes de voix féminines, mais Penn n'y prêta pas attention et, regardant le sol d'une couleur orangée, enleva sa veste de cuir noir, pour la pendre au porte-manteau bordant le mur de la luxieuse cuisine. Toujours à l'ouest, perdu dans ses pensées, Penny avança vers l'arc de mur qui donnait accès à un immense salon pour finalement se laisser tomber dans un beau sofa de cuir beige. Il eut quelques secondes de sommeil...
Son sommeil n'était pas profond, il entendait au loin le bruit de la télé toujours allumée, il ne savait pas comment...
« Tu as du avoir une dure journée pour en arriver à dormir sur le canapé ».
Penn sursauta d'un coup, tous ses sens en alerte, affolé. Il se leva du sofa brusquement et inspecta la pièce de gauche à droite, et il tomba sur le visage charmeur de sa belle. Alinor était là. Le visage du jeune dieu changea alors brusquement d'expression. Il devint mauvais.
« Ne recommence plus jamais ça ! ».
Penn laissait paraître un visage énervé et contrarié. La belle blonde, elle, riait aux éclats de la peur subite de son compagnon. Le jeune homme se leva brusquement et partit vers la cuisine, qui bientôt s'illumina de lumière. Alinor le suivit discrètement d'un pas dansant. Elle lui faisait entendre qu'il ne fallait pas paniquer comme cela, toujours en riant. Mais Penn ne rigolait pas, loin de là.
« Tu sais ce que les dieux m'ont demandé ? De rompre avec toi ! Alors tu ferais bien de te calmer, si tu ne veux pas que cela finisse mal, Ali. ».
Alinor fit d'abord un visage outré, puis rigola, se moquant. Elle lança à son chéri qu'elle se contrebalançait de l'avis des divinités, qu'elle voulait vivre sa vie avec lui, avoir un enfant. Mais Penn l'arrêta net.
« Stop ! Arrête de penser dans le futur, il n'y en aura peut-être pas. Essaie de prendre un peu plus de considération dans cette demande, veux-tu ? ».
Alinor fit une mine déconfite, car c'était la première fois qu'elle envisageait que son copain pourrait la jeter pour ses amis divins. Elle ne dit plus un mot de la soirée, et Penn, lui, resta irritable jusque que le lendemain également.
Penn se réveilla nauséeux, et mal dans sa peau, mais ça ne fit qu'empirer lorsqu'il sortit du lit, montrant son beau caleçon bleu rayé et ses jambes musclées car il ne trouva pas Alinor dans l'appartement. Il s'approcha de la table de la cuisine et aperçut un petit mot écrit d'une superbe écriture de couleur noire. C'était l'écriture d'Ali. Penn tomba des nues.
D'après ce que j'ai compris, ce sera mieux ainsi. Adieu, Penn.
Une goutte séchée laissait croire qu'Alinor avait laissé couler une larme sur le petit bout de papier sans y prêter attention, avant de s'enfuir... Penn se sentit mal, responsable de sa fuite, mais en même temps soulagé ; c'était un problème tristement réglé, mais réglé.
»code du règlement ; You know you love me, right ?! »un mot à dire ? Design et forum très doux et agréable ! (: Je ne me suis pas démené pour son caractère et sa personnalité mais j'aurais plus d'inspiration et de motivation lors du rp, croyez-moi je suis chaud de jouer cette petite et frêle demoiselle.
Levannah Kate; “I'm misses shy.”
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